ascenseur pour le paradis

Le mois de février a été très calme, la ville tranquille et mon immeuble aussi ! Mon amant du moment, un peu joueur, a voulu me faire découvrir le septième ciel au douzième étage.

Ce matin-là, on était descendus acheter les croissants et les journaux. Il m’avait déjà bien chauffée en me susurrant des cochonneries à l’oreille dans la file d’attente de la boulangerie en me pinçant les fesses.
Quand on est entrés dans l’ascenseur, il a appuyé sur le bouton du dernier étage en rigolant, et il a parié qu’il réussirait à me faire jouir avant d’arriver en haut. Sitôt dit, il m’a sauté dessus ! il a fait tomber ma jupe noire, je n’avais plus que mes bas couleur chair (que j’avais mis exprès pour l’exciter).
Il m’a léché direct la chatte . De toute façon, j’étais bien trempée depuis un bon moment , on n’avait pas besoin de préliminaires !
J’ai baissé son pantalon et me suis retournée. J’ai cambré les fesses pour lui montrer le chemin et, il m’a léché le petit trou. Quand il s’est relevé, il a enfoncé sa bite d’un coup dans mon cul. C’est vrai qu’on avait pas trop le temps de faire les choses dans les règles de l’art.

J’en avais vraiment envie. Il m’a vraiment envie. Il m’a pistonnée comme un fou mais… Trop tard !
On avait atteint le dernier étage et on avait pas encore joui. Du coup, il appuyé sur le bouton du rez-de-chaussée, et on est repartis pour un tour. Je me suis caressé le clitoris pendant qu’il allait à toute vitesse dans mon cul. D’un coté, je voulais que cela aille vite pour qu’on ne se fasse pas surprendre par les quelques voisins qui étaient là, mais de l’autre, j’avais envie que ça dure des heures. Il entrait de plus en plus profondément en moi, sa queue m’écartelait.

Avant qu’ont atteignent le rez-de-chaussée, j’avais joui, et lui aussi. On s’est habillés et on est vite rentrés à l’appartement. On avait encore trop envie l’un de l’autre. Ce jour-là, il me semblait qu’on n’en aurait jamais assez!

Manon

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