LA MAISON DES PLAISIRS (suite)

Je vous avait promis de vous raconter la suite, la voici :

Je sentis ses mains huilées sur le haut de mon dos. L’odeur d’huile au chocolat envahissait mes narines. Pas de doute, elle avait l’habitude, des gestes souples mais fermes, j’appréciais ce massage et je fermais les yeux. Je savais que j’allais passer un bon moment. Je me détendais quand elle commença à descendre au bas de mon dos, elle était debout devant moi. Elle se penchait sur moi et je sentais ses seins nus reposant sur le haut de mon dos. Après m’avoir bien massé le dos elle s’attaqua à mes cuisses. Cela me faisait un bien fou. Puis vinrent les pieds, elle me fit un massage qui eu pour effet de me procurer une douce chaleur dans le bas du ventre. Puis, sans que je m’y attende elle commença à prendre un de mes orteils dans sa bouche délicate. .
– Tu aimes ?
– Beaucoup, répondis-je

Je commençais à être  excitée par tout ce mystère tout comme je le peux l’être lors d’un long et torride dialogue de téléphone rose. Elle s’était placée sur le côté, et plaçait maintenant ses mains sur mes fesses. Elle commença à  les masser, puis à les caresser. Je sentis son souffle sur mes fesses.. Elle les embrassait à présent, c’était bon, elle était délicate et ses lèvres était très douces. Maintenant, elle entreprit de passer sa langue sur mes fesses, tout en écartant légèrement mes jambes. Elle glissa sa langue sous la ficelle de mon string et la passa tout le long du tissu de haut en bas. Je mouillais et elle devait le sentir. Elle se redressa et revint près de ma tête.
Très excitée, je me retournais.
Elle avait un corps parfait, une taille fine et de sublimes jambes, une poitrine magnifique, sa chatte était totalement épilée, comme la mienne.. Cette femme était très désirable. Elle se pencha sur mon cou, ses seins touchant les miens. Puis s’approchant de ma bouche, elle y déposa un baiser langoureux. Mon désir montait. Je sentais qu’elle me dominait, c’est elle qui dictait les choses et je n’avais pas envie de l’en dissuader. Je voulus me lever mais elle me fit comprendre que je devais rester tranquille, puis elle déposa un baiser sur ma chatte par dessus mon string et me regarda.

Elle fit glisser mon string le long de mes jambes et le retira, Elle m’écarta les jambes sur la table, et je la vis se pencher sur ma chatte. Elle me léchait, elle insistait sur mon petit bouton qui gonflait sous ses coups de langue. Je commençais à gémir, cette fille était une experte, sa langue dansait dans tous les sens, me procurant de grands râles de plaisir. Je n’avais qu’une hâte, la goûter à mon tour. Je m’attendais à ce qu’elle vienne sur moi pour que je puisse à mon tour passer ma langue sur elle et que l’on fasse l’amour comme des folles. Mais au lieu de ça elle m’apporta des enveloppes. Tires-en une. Je l’ouvris et découvris le nombre 3. « Très bien, me dit-elle, je vais te remettre ton bandeau sur les yeux. ». Cette fois-ci je n’avais plus de peignoir et je sentis que l’on allait vers une autre pièce. Elle me fit me mettre à genoux et m’attacha les bras dans le dos, elle me retira mon bandeau. La lumière de la pièce était tamisée, il y avait par terre, et un petit coffre fermé. Elle me bascula en arrière de sorte que je fus couchée, les bras dans le dos. Elle me chevaucha,  ouvrit bien ses cuisses, enfin je la goûtais, elle était sucrée… « Tu veux toujours continuer ? » J’étais bi, et comme un dialogue coquin , ce moment  avec cette femme ne me posait pas de problème bien au contraire, je ne voyais pas ce qui pouvait m’arrêter. Elle se leva et se dirigea vers la porte. Je l’entendis dire : « Ca y est, elle est prête »

Elle revint vers moi, laissant la porte entrouverte, elle me redressa, me remettant à genoux. Puis elle se dirigea vers le petit coffre et l’ouvrit. Des bruits de pas me firent tourner la tête, oubliant le coffre….

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